Persona non grata, signifiant littéralement « personne n’étant pas la bienvenue ». Cette expression latine utilisée dans la diplomatie, est venue simplement confirmée l’accueil malvenu au vaccin Astra Zeneca en République Démocratique du Congo, RDC.
Ce vaccin Astra Zeneca a créé beaucoup de doutes et d’incertitudes dans les rangs de congolais, au regard des incidents intervenus après la première dose en Europe. Raison pour laquelle, le président congolais (RD) a affirmé au cours de sa conférence de presse à Kinshasa :
« Vous savez que le vaccin Astra Zeneca a posé problèmes, et continue à en poser. A la fois, des effets secondaires, mais également la confiance vis-à-vis de la population ».
Dans tous les cas, la RD Congo se trouve sous la menace d’une troisième vague dont les mesures draconiennes seront bientôt annoncées par le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à partir de l’Est du pays, où il est allé réconforter la population sinistrée de GOMA.
Selon la dernière information accueillie dans notre rédaction, le vaccin à « vecteur viral » comme celui d’Astra Zeneca, utilise comme support un autre virus qu’on modifie afin qu’il transforme dans l’organisme des informations génétiques permettant de combattre la COVID. Comme quoi, le doute persiste. Et le congolais se pose la question de savoir si le vaccin Astra Zeneca bientôt abandonné ?
