Depuis un moment, l’opinion nationale constate au niveau de l’hémicycle du palais du peuple une tension provoquée par des députés à l’encontre des ministres dont leurs actions restent dans le superflu au regard de grandes attentes de la population Congolaise, pour laquelle, certains parmi eux, ont déposé les différentes motions au niveau du bureau du président de l’Assemblée nationale pour interpellation.
Parmi les ministres visés, nous citons : Le ministre des Affaires Etrangères, Christophe Lutundula interpelé suite à la fermeture des frontières entre la RDC et la Chine, trois années se sont écoulées déjà, dont le COVID-19 reste jusqu’à ce jour la raison principale évoquée. Ce qui fait blesser le bas c’est le constat selon lequel les chinois entrent librement en RDC sans aucun soucis, ils se permettent de tout : dans la vente des minerais et autres… Chose qui n’est pas le cas pour les congolais désirant accéder en Chine.
En outre, le ministre des Transports, Voies de Communication et Désenclavement, Cherubin Okende, se voit infliger une motion de défiance, déposée contre lui pour abus commis dans l’exercice de ses fonctions.
Le dernier visé par une motion d’interpellation, c’est le vice-premier ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, Daniel Aselo. . Ces interpellations sont autour des tracasseries et plusieurs bavures policières observées depuis un temps en République démocratique du Congo et plus particulièrement dans la ville de Kinshasa.
L’Assemblée provinciale de Kinshasa n’est pas restée insensible aux cris des kinois qui font face aux criminels communautaires au nom des Kulunas. Pour ce faire, le ministre provincial de l’intérieur et sécurité, est convoqué pour s’expliquer sur la montée du phénomène kuluna dans la capitale kinshasa.
BB