Le moins que l’on puisse dire au regard d’une vidéo circulant sur les réseaux sociaux faisant état des révélations soit disant accablantes à la gestion du Directeur ai de l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature, ICCN, Monsieur Olivier Mushiete dont l’auteur desdits propos s’identifie à la fois de journaliste et avocat. Dans ses dires, il soulève des accusations qu’il estime cohérentes mais banalisées et rejetées totalement par les proches de Mushiete.
Le fameux chroniqueur prétend détenir des pièces à conviction, lesquelles sont incognito, en remettant en question la gestion de l’ICCN sous Olivier Mushiete. Mettre en marche une campagne visant sans nul doute à saper et à diaboliser l’ICCN et son Directeur Général, car il s’agit d’une campagne de sape, orchestrée par ses détracteurs pour mal de positionnement. Et pourtant, l’ICCN trouvée moribonde et clochardisée par ceux-là qui se détractent par la nostalgie, pensent encore sauver l’ICCN qui se remet, peu à peu, grâce aux efforts du comité Mushiete et de son personnel.
Faisons allusion au recrutement de « vingt (20) mercenaires », le terme semble fort et compliqué pour ce mouton noir qui plonge dans la confusion et dans l’allégorie du concept (politique) du mot « mercenaire ». On n’ait pas là. Car le mot mercenaire, dans le jargon autre que celui du secteur de la conservation de la nature, ne désigne rien d’autre qu’une personne bien entrainée pour mener des actions apportant le changement..
Le seul objectif est celui remettant en cause la gestion de Mushiete. Une démarche mal vue par les acolytes de Mushiete qui d’ailleurs pensent qu’il ne s’agit qu’en réalité d’une campagne de diabolisation orchestrée pour fragiliser l’ICCN qui dorénavant depuis l’avènement de Mushiete, cette entreprise sort du gouffre de la faillite laissée par ses prédécesseurs. Dans tous les cas, vrai ou faux journaliste, les mercenaires désignent des personnes capables pour mener à bien le travail de l’ICCN, contrairement aux allégations sans fondement et truffées de jalousies pour créer à vouloir être entendu par des gens sans scrupules. Donc, faudrait alors veiller sur l’appropriation des mots, si on veut se faire correctement journaliste…Car, la loi congolaise ne laisse pas impunis les actes de diffamation et dénonciations calomnieuses et cela contre toute personne qui en serait auteur. Nous avons dit et averti.