Depuis quelques jours en République démocratique du Congo, la toile est mouvementée avec les critiques acerbes visant le Ministre du portefeuille, Jean-Lucien-BUSSA, alors l’un des meilleurs depuis l’avènement du président Félix Tshisekedi à la tête du pays.
Actuellement en charge de ce Ministère responsable pour la participation de l’État congolais dans les entreprises publiques, commerciales et d’économie mixte, ce Chevronné de la politique congolaise fait l’objet d’accusations « infondées » du népotisme émanant de certaines voix de l’opposition ou de quelques-unes de la majorité au pouvoir frustrée par son « savoir-faire ».

Jean-Lucien Bussa matérialisant la vision du président Félix Tshisekedi au ministère du Commerce extérieur.
Les attaques de ses détracteurs sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels ne font que s’amplifier malheureusement.
Face à cette campagne de désinformation qui visiblement, n’a pour objet que de jeter du discrédit sur cette personnalité, il est important de rétablir la vérité avec clarté et transparence.
Une gestion fondée sur la compétence, non sur les liens familiaux
Contrairement aux factices misent sur la place publique, aucune nomination effectuée par ce Ministre ne repose sur des critères familiaux ou affectifs. Toutes les personnes actuellement en poste dans son entourage professionnel, y sont sur base de leur parcours professionnel, de leur expertise et de leur mérite.
Les procédures de sélection, qu’elles soient administratives ou politiques, ont scrupuleusement respecté les règles de transparence et d’équité.
Aucun lien familial direct dans les nominations évoquées
Il s’avère que les noms cités par certains médias et internautes comme étant « proches » de Jean-Lucien BUSSA ne sont en réalité liés à lui ni de près ni de loin sur le plan familial. Certaines confusions sont basées sur des homonymies ou des relations strictement professionnelles datant de plusieurs années. Ces amalgames, entretenus de manière volontaire ou par ignorance, alimentent une polémique sans fondement.

Le ministre du portefeuille Jean-Lucien Bussa totalement investi pour la relance de la CINAT
Une attaque politique déguisée
La politique étant un monde de tous les coups, malheur est de constater que ces accusations interviennent dans un contexte politique particulier, à un moment où Jean-Lucien BUSSA gagne en influence et multiplie les actions concrètes au service de la population et de l’État, Ce timing interroge.
Il s’agit vraisemblablement d’une tentative de déstabilisation visant à discréditer un homme politique dont la popularité et l’efficacité dérangent certains adversaires.
Transparence et responsabilité
Conscient des responsabilités qui lui incombent, ce vaillant ministre demeure attaché à une gouvernance exemplaire.
Son engagement a toujours été guidé par le service public, non par les intérêts personnels.
Une chose est vraie : dans une démocratie, la critique est un élément essentiel et sain. Puisqu’elle permet de remettre en question le pouvoir en place, d’améliorer les politiques publiques et de garantir le respect des droits et libertés individuels.
Cependant, qu’elle vienne de l’opposition, des citoyens ou des médias, elle doit se reposer sur des faits et non sur le mensonge. Pour cas d’espèce, les accusations du « népotisme » portées contre Jean-Lucien BUSSA, ne résistent pas à l’examen objectif de la réalité. Ce genre de manipulation nuit non seulement à la réputation des personnes visées, mais aussi à la qualité du débat public.
En conclusion, la critique en démocratie devrait être un moteur de progrès et de renforcement de ce système politique et non la caisse de résonance des opportunistes.
Rédaction




