Contrairement aux faux bruits propagés dans les médias, accusant le Directeur Général de l’Agence nationale de développement de l’entrepreneuriat congolais (ANADEC), sieur Godefroy AMKAMPESE KIZABA, d’avoir détourné et de briller par la mauvaise gouvernance, il s’avère que deux Administratifs véreux de cet Etablissement public congolais sont à la manœuvre pour déstabiliser et déchanter leur n°1 afin d’avoir un boulevard pour piller la République.
D’après nos investigations avec différentes preuves à l’appui, le Magazine « RD CONGO-MONDE », a pu constater que le DGA MATTHIEU TSHIMBUMBU MUBOYAYI et l’Administrateur HANSE MUTOBO de l’ANADEC ont un plan machiavélique qui consiste à avoir à tout prix la tête du DG AMKAMPESE KIZABA.
Usant des stratégies incommodes, ils veulent que le DGA qui aurait le bénéfice de la confiance de son parti (parti présidentiel) puisse par tous les moyens, occupé le poste du Directeur Général en remplacement de l’actuel. Ainsi, pour eux tous les moyens sont bons.
N’ayant pas trouvé des soubassements valables dans leur démarche suicidaire pour décrédibiliser sieur KIZIBA, ces deux administratifs ont préféré prendre le devant pour nuire ce dernier en divulguant des factices sur la place publique.
A l’inverse de ce qui a été rapporté dans les médias, nos enquêtes révèlent que toutes les procédures liées au marché public ont été respectées.
Les avis de non objections de l’ARMP ET DGCCMP sont bel et bien là.
Au sujet de la bonne gouvernance, le Directeur Général KIZIBA a utilisé l’argent du contribuable congolais à bon escient.
Il sied de noter que jusqu’au moins d’avril de l’année en cours, la caisse de l’ANADEC avait deux millions sept cent cinquante mille dollars (2.750.000 USD) sans avoir encore était payé par l’ARSP et le FPI.
Et sur ce montant, 750.000 USD ont été utilisés pendant 6 mois pour entre autres : préparer l’inauguration de la Maison de l’Entrepreneuriat et à l’achat des fournitures (bureaux, matériels roulants, les ordinateurs, etc.) et toutes ces dépenses sont documentées.
L’une des preuves éloquentes est le souci de toujours vouloir décaisser des montants colossaux dans le compte de l’entreprise sans suivre ni respecter la procédure légale. Comment peut-on prétendre le pays et le Chef de l’Etat si on marche sur les lois du pays. Et pourtant, tout le monde est censé connaitre la loi et surtout lorsqu’on est appelé à gérer ou diriger.
Pourtant, le décret ministériel qui régit l’ANADEC indique que quelques soient l’urgence et le besoin de l’entreprise, si le montant est supérieur à deux cent mille dollars (200.000 USD), il faut demander l’autorisation du ministre de tutelle.
Pour le Conseil d’Administration et ces administratifs, respecter L’esprit et La lettre de la loi, c’est détourner.
Comment le DGA peut autoriser le décaissement de deux cents quarante mille dollars (240 000 USD) pour l’achat d’une parcelle devant abritant l’une des Directions Provinciales dont le prix d’achat a couté 150 000 dollars ? Constatant cela après son retour d’une mission officielle, le DG en tant que celui qui engage légalement l’entreprise, devait exiger la traçabilité de chaque montant sorti du compte de l’ANADEC.
Il se constate que ce souci du Directeur Général Godefroy KIZABA, Professeur en Sciences de Gestion de l’Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis Saint-Germain-en-Laye, en France de privilégier la transparence et prêcher par la bonne gouvernance à l’ANADEC est le cadet de préoccupations des dirigeants véreux qui sont là que pour rançonner et piller la République.
RDCONGO-MONDE Mag.
