« À ce jour, nous avons l’autorisation de mise sur le marché du produit MANACOVID. De par son mécanisme d’action, il peut être pris à la fois à titre préventif et curatif ». (Dr Mamyssa Batangu)
C’est à Luozi, au Kongo-Central, la ville qu’a vue évoluer le pharmacien congolais Etienne Flaubert BATANGU MPESA, que se trouve le Centre de Recherche pharmaceutique de Luozi, CRPL. Ici présent, œuvre avec son père et voudrait encore faire mieux. Il s’agit du Docteur Mamyssa BATANGU, qui emboîte les pas à son géniteur et tient à accumuler des années d’expérience dans le domaine de la médecine, dans le souci de contribuer pour l’humanité.
Pas plus tard qu’hier, le CRPL que dirige les BATANGU, connu pour leur travail de promotion et de fabrication des produits pharmaceutiques et médicaux, viennent de surprendre la science, en mettant actuellement sur le marché un médicament qui combat et lutte contre la fameuse pandémie de coronavirus , appelé « Manacovid », un produit antiviral, antifébrile, antioxydant, qui booste l’immunité.
C’est au cours d’un entretien avec le magazine international RD Congo-Monde que Docteur Mamyssa BATANGU a dévoilé le contenu de son produit. Ainsi, elle s’exprime…
RD Congo-Monde : Qu’est-ce que le monde entier ignore sur la Covid-19 ?
Mamyssa BATANGU : En tant que certifiée en génétique, dans ce que j’ai fait comme étude approximative, nous avons eu à côtoyer le virus sur le plan électronique, pour voir un peu comment le virus a-t-il évolué. Nous avons compris qu’il y avait un changement, et que ce virus ne s’est plus comporté comme auparavant. Il y a même des sources sûres qui témoignent que c’est un vaccin contre le VIH qui a mal tourné. Il faut savoir que quand on fabrique un vaccin, il y a plusieurs étapes à suivre, plus de 254 étapes qui interviennent. Il y a des vaccins qui ont réussi et beaucoup d’autres qui ont échoué. Même dans les coffrets cachés de l’OMS, il y a beaucoup de révélations des vaccins qui ont échoué lamentablement.
Pour une maladie qui n’est pas immunisante, est-ce qu’il y a lieu de recourir à un vaccin ?
D’après nos études avec Manacovid, le principe actif de ce produit est que c’est un antiviral, un antifébrile, un antioxydant, qui booste l’immunité. C’est aussi un antibactérien qui combat le prevotella (bactérie intestinale qui rend le coronavirus très dangereux). Le Manacovid élimine cette bactérie, ce qui fait qu’à la moindre recontamination, il n’y aura plus de risque des troubles respiratoires, c’est-à-dire que la pathologie ne présentera plus les mêmes symptômes. Ce qui fait que dans nos études, nous sommes en train d’aborder une approche naturelle immunitaire qui peut avoir un effet similaire à celui d’un vaccin sans pour autant causer des désastres.
De quoi est composé le Manacovid ?
En ce qui concerne la composition le Manacovid, il y a des effets de polyphénols, de flavonols entre autres la quercétine, et beaucoup d’autres extraits naturels.
Quelle bataille avez-vous livrée pour que ce produit soit accepté ?
Au début, certains malintentionnés cherchaient à nous étouffer, d’autres étaient déjà corrompus de l’extérieur du pays à cause du vaccin, pour nous écarter de la course. D’autres encore nous bloquaient dans les réseaux sociaux, en publiant des fake news. Moi-même, j’étais victime d’un attentat qui allait me coûter la vie. Nous avons subi des menaces de part et d’autre. En tout, la vérité est têtue et nous devons vivre pour la cause de l’humanité. Aujourd’hui, avec tout ce que nous avons eu à faire, il y a eu l’autorisation temporaire d’utilisation. Il fallait payer les assurances des personnes soignées et soignantes pour sécuriser ce qui a été fait. Nous n’avons jamais reçu de financement extérieur, toutes ces dépenses étaient à notre charge. Après le ministère de la Santé avait besoin de tous ces résultats, et passer à la désignation d’un comité d’éthique qui devait faire des investigations de son côté. A la fin de compte, nous avons eu le résultat de ce comité qui s’avérait concluant. Et, il fallait continuer certaines formalités qui avaient été établies. À ce jour, nous avons l’autorisation de mise sur le marché du Manacovid. De là, je pourrai lancer un projet : Congo sans Covid, « COSCO » en sigle.
Devons-nous prendre ce médicament à titre préventif ou curatif ?
De par son mécanisme d’action, il peut être pris à la fois à titre préventif et curatif. Premièrement, à titre préventif, il a des effets directs sur le délabrement de la membrane cytoplasmique de la cellule virale donc, c’est comme un être humain qui se retrouve sans peau et la vie devient compliquer. Deuxième, à titre curatif, il interfère entre les récepteurs (l’hémagglutinine et la neuraminidase) qui permettent l’entrée du virus dans la cellule hôte. Il y a un antagonisme qui bloque ces récepteurs, ce qui fait que le virus ne peut plus suivre un cycle normal. Il ne peut plus interférer au niveau du noyau de la cellule, parce que c’est un virus à ARN (acide ribonucléique).
Quel message pouvez-vous lancer à tous ces pays atteints par la Covid-19 ?
Je dirai à tous ces pays que nous sommes tous touchés par ce virus alors, nous voulons que ce produit apporte la solution partout dans les confins de la terre. En tant que humains, commençons d’abord par bouter ce virus hors de nos vies, et soudons-nous pour chercher à sauver des vies. Mettons nos complexes raciaux de côté, la vie est unique.
Est-ce que le centre de recherche pharmaceutique de Luozi sera capable de distribuer le Manacovid pour la RDC et pour le monde entier ?
Intellectuellement oui, mais matériellement non. Nous avons fait des essais cliniques à nos propres frais. Alors, nous demandons à tous ceux qui peuvent mettre la main à la pâte de nous financer pour que l’humanité soit sauvée.
Où trouver ce produit présentement ?
Le centre de recherche pharmaceutique de Luozi (CRPL), a des bureaux de représentation. Nous sommes à Mont-Ngafula sur Bypass 4616, arrêt dépôt et à Lemba terminus sur Fidi n°01/bis. Pour d’autres renseignements, notre contact, c’est +243 899 999 312.
A combien coûte ce produit ?
Le prix de ce produit est encore en train d’être débattu parce que nous voulons que ça soit accessible à toutes les couches sociales. Mais je souligne que nous n’avons pas été financés. Que ceux qui nous entendent et nous lisent que ceux qui ont un cœur pour l’humanité qui est en danger puissent nous financer. En 40 ans d’existence, le CRPL n’a jamais été financé.
